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For two weeks, Bitcoin seemed to be pedaling in semolina, unable to climb above $90,000. Then, against all odds, the flagship crypto surged, finally crossing the dreaded $85,000 mark. A sigh of relief sweeps across the markets, but it’s not time for euphoria: could this breakthrough signal the start of a new rally? Or merely defer an inevitable drop towards $76,000? Ah, $85,000… a simple number, but oh so symbolic! For roller coaster enthusiasts, it’s the next turn (before $65,000 ?). For analysts like Ryan Lee from Bitget Research , it’s the lifeline: A weekly close above this level could avoid a descent towards $76,000 and signal a bullish recovery. A tad dramatic? Not quite, when we know that BTC is stagnating at +0.9% for the week. The scene is set: declining inflation, stable rates, looming trade war… Yet, Bitcoin hesitates. A psychological war is raging between hodlers and weekend sellers. According to SantinoCripto, “the bottom of this correction is around $75,000”. A cautious estimate, compared to some much darker voices. Alex Wacy, for instance, doesn’t mince his words: A return to $40,000 is possible. But beware of the magnifying effect. As Crypto Rand reminds us: So, should we tremble? Or simply breathe, hold on, and wait for the next twist? With the close above $85,000 ($85,255 at the time of writing this article), Bitcoin seems to have outsmarted the worst scenarios. If the momentum continues towards $87,000, technical signals could align to trigger a new bullish rally this week. Beyond the price, crypto market signals do not lie: long-term hodlers are getting active. Since February, these diehards have been quietly accumulating their BTC, far from panicked gazes. In just two months, over 250,000 BTC have been absorbed, increasing the supply held by these investors from 13.1 to 13.3 million BTC. It’s a sign, proclaim the on-chain oracles. A submarine movement, a silent rise. “These accumulations are what we should watch, not the short-term fluctuations,” notes Enmanuel Cardozo from Brickken. But should we view this as a mere crypto-ant reflex, or a harbinger of an explosion? The market is also driven by hopes for regulatory renewal. Will that be enough to reverse the trend? Especially since shadows persist: global tariff tensions loom until early April. Until then, the slightest tweet can upset the balance. Yet, in this theater of uncertainties, some see a broader choreography. Sandman Research summarizes this well: Bitcoin follows the curve of global liquidity like a faithful shadow. And it has just reached a peak. So, is it just a coincidence or a prelude to the next act of the bull run? Another factor not to be overlooked: the money supply. It also made a discreet reminder in propelling Bitcoin . Admittedly, the correlation isn’t perfect, but history proves it: the two are inseparable.

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À peine installé dans le Bureau ovale, Donald Trump sème la zizanie. Entre coupes budgétaires, suppressions d’aides et nouvelles taxes, le monde entier retient son souffle. L’Europe, en particulier, voit d’un mauvais œil le retour des droits de douane punitifs. Laurent Saint-Martin, ministre français au Commerce extérieur, a sonné l’alarme : l’Union européenne doit rester unie, sous peine de subir un revers historique face aux velléités protectionnistes du président américain. Pour le ministre Laurent Saint-Martin, qui ne minimise pas la politique protectionniste du président américain, c’est l’heure de vérité. À Dubaï, lors du salon de l’alimentaire Gulfood, il a mis en garde : « Si l’Europe est désunie, elle peut perdre beaucoup. » Ce n’est pas une hypothèse lointaine, mais une menace bien réelle. Trump a déjà frappé fort en annonçant des taxes de 25 % sur les importations d’automobiles et de produits pharmaceutiques. Les grands constructeurs allemands, comme Volkswagen, vacillent déjà sous le poids de la crise et des suppressions de postes. L’industrie automobile, qui représente 7 % du PIB de l’UE et emploie 13 millions de personnes, risque une nouvelle secousse. À Bruxelles, les appels à la riposte se multiplient. Maros Sefcovic, commissaire européen au Commerce, prévient : l’Europe réagira « fermement et rapidement » si les menaces de Trump se concrétisent. La liste des griefs de Donald Trump envers l’Europe est longue. Il accuse l’UE d’ériger des barrières commerciales sous couvert de normes et de TVA. Son projet ? Imposer des taxes équivalentes (ou tarifs réciproques ) aux droits de douane européens sur les produits américains. L’acier et l’aluminium sont les premiers visés, mais l’automobile et les semi-conducteurs ne sont pas en reste. Face à cette offensive, l’Europe doit-elle plier ou contre-attaquer ? Les réactions divergent. Ursula von der Leyen appelle à une réponse calculée, sans nostalgie pour un monde révolu. Emmanuel Macron, lui, se veut plus ferme : « Si nous sommes attaqués, nous devrons nous faire respecter. » Les conséquences économiques pourraient être lourdes : Christine Anderson, eurodéputée allemande, salue pourtant la stratégie de Trump : « Il nous montre la voie. Plutôt que de nous lamenter, suivons son exemple. » Alors, l’Europe doit-elle s’inspirer du protectionnisme américain ou riposter avec ses propres armes ? Louis Duclos, analyste politique, voit dans cette crise une opportunité : « L’Europe avance dans les crises, c’est le moment ou jamais de s’émanciper ». Selon lui, les menaces de Trump pourraient être l’électrochoc nécessaire pour que l’UE prenne enfin son destin en main. Entre la pression de Poutine à l’Est et la brutalité de Trump à l’Ouest, l’Europe ne peut plus se contenter de rêver à une paix éternelle. Mais encore faut-il une volonté politique. Réussira-t-elle à dépasser ses divisions internes pour imposer une politique commerciale forte ? Bruxelles saura-t-elle résister aux pressions américaines ? Si Trump impose ses taxes, la riposte européenne sera-t-elle à la hauteur ? Ainsi, d’un côté, Trump impose sa loi et écrase ses partenaires, tandis qu’Elon Musk prône un « MEGA » (Make Europe Great Again). Deux visions diamétralement opposées, alors même que plusieurs pays européens croulent sous la dette . L’Europe saura-t-elle surmonter cette nouvelle épreuve et tracer son propre chemin ?